On ne dispose que peu de références sur ce livre imprimé à seulement 50 exemplaires. Idem sur son auteur. On sait qu’il contribua à un journal de Laval, L’Echo de la Mayenne, et qu’il résida probablement à Bourbon entre 1840 et 1850 : son nom figure dans les recensements des propriétaires d’esclaves de Saint-Benoit en 1847-48.
Composé d’un frontispice représentant Bras-Canot, de sept nouvelles traitant essentiellement du marronnage, ainsi que de cinq lettres de l’auteur racontant ses pérégrinations dans la société et la nature bourbonnaise, ce livre révèle un ensemble de créations littéraires et de témoignages historiques inédits publiés quelques années avant l’abolition de l’esclavage, et en partie parus dans la presse métropolitaine.