Ces textes ne furent jamais publiés sous la forme d’un véritable code juridique, mais ils l’amendaient tellement qu’ils reçurent ce nom distinctif. De fait, la législation adoptée sous Louis-Philippe est nettement plus favorable à l’esclave pour deux raisons majeures : la reconnaissance de l’esclave comme un sujet de droit partiel et l’adoucissement de sa condition.